14 Juillet 2025 : Macron tranchera-t-il entre la DS N°8 et le Renault Rafale ? Le duel des voitures présidentielles

14 Juillet 2025 : Macron tranchera-t-il entre la DS N°8 et le Renault Rafale ? Le duel des voitures présidentielles

Chaque année, le 14 juillet marque un rendez-vous symbolique en France : la fête nationale. Tandis que les regards se tournent vers les Champs-Élysées pour assister au défilé militaire, un autre détail suscite également l’attention des passionnés d’automobile : la voiture présidentielle. En 2025, Emmanuel Macron hésite encore entre deux modèles emblématiques de l’industrie française, le Renault Rafale et la DS N°8. Mais sur quels critères s’appuie le choix du chef de l’État ? Plongée dans les coulisses d’un rituel républicain peu connu.

Une vitrine roulante du savoir-faire français

Le choix de la voiture présidentielle pour le 14 juillet n’est pas régi par un protocole officiel strict. Pourtant, quelques constantes émergent depuis plusieurs décennies. Avant tout, le véhicule utilisé doit être d’origine française. Il s’agit là d’un symbole fort : à travers cette voiture, le président de la République promeut le savoir-faire industriel national.

Les grandes marques hexagonales que sont Renault, Peugeot (désormais sous l’égide de Stellantis) et DS Automobiles (filiale premium du même groupe) se retrouvent donc chaque année au cœur de cette vitrine éphémère, exposée devant des millions de téléspectateurs et d’invités étrangers.

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Macron entre deux drapeaux : DS ou Renault ?

Macron drapeaux DS ou Renault

En 2024, Emmanuel Macron avait inauguré le Renault Rafale pour le défilé du 14 juillet. Ce SUV au nom évocateur, inspiré de l’avion de chasse du même nom, se veut un condensé de technologie et de performance à la française. Son allure imposante, son design travaillé et ses équipements innovants ont séduit les observateurs.

Mais en mai 2025, lors des cérémonies commémorant les 80 ans de l’armistice du 8 mai 1945, le président a surpris en optant pour la nouvelle DS N°8. Berline haut de gamme, élégante et statutaire, elle représente le renouveau du luxe automobile tricolore. Arrivée dans le garage présidentiel peu avant l’événement, elle pourrait bien incarner une nouvelle tendance.

Le 14 juillet 2025 pourrait donc marquer un retour au Rafale ou une confirmation de la N°8. Pour l’heure, aucun choix n’a été officiellement annoncé, laissant planer le suspense autour de cette décision symbolique.

DS N°8

Un choix politique autant que médiatique

Bien qu’il n’existe aucune règle écrite imposant le modèle ou la marque du véhicule présidentiel, chaque choix est hautement stratégique. Il s’agit moins d’une simple préférence personnelle que d’un message politique. Adopter un modèle récent et technologiquement avancé permet au président d’illustrer le dynamisme industriel de la France. C’est aussi une manière de soutenir une marque ou un groupe dans un contexte économique parfois difficile.

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Derrière le capot se joue également une guerre d’image entre les constructeurs. Être choisi par le président pour le 14 juillet revient à bénéficier d’une immense publicité, sans débourser un centime en communication. La présence d’un véhicule sur les Champs-Élysées lors du défilé, sous l’œil des caméras du monde entier, est une vitrine inestimable.

Une tradition qui évolue avec le temps

Si l’on remonte quelques décennies en arrière, le défilé présidentiel se faisait souvent à bord de véhicules spécialement carrossés. Georges Pompidou avait marqué les esprits en apparaissant à bord d’une majestueuse Citroën SM cabriolet, unique en son genre. À cette époque, l’exception automobile faisait partie du prestige présidentiel.

Aujourd’hui, l’approche est plus sobre et fonctionnelle. Les véhicules utilisés sont généralement des modèles de série, légèrement modifiés pour des besoins de sécurité ou de protocole. Cette évolution témoigne d’un changement de posture, plus pragmatique et davantage tourné vers la mise en valeur du produit grand public.

Verdict attendu le jour J

Comme chaque année, le choix final sera révélé au moment du défilé. Le président Emmanuel Macron fera son apparition dans la voiture sélectionnée, précédée par la Garde républicaine. Les amateurs d’automobile auront alors les yeux rivés sur la calandre pour savoir si le Rafale renouera avec les honneurs ou si la DS N°8 poursuivra sa percée.

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Au-delà du symbole, ce rituel souligne l’importance du secteur automobile dans l’identité industrielle et technologique de la France. Une fois encore, le 14 juillet ne se résumera pas à une simple parade militaire : il sera aussi le théâtre d’un subtil duel entre deux fleurons de l’auto française.

Clément

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